Dorian Renard X Southway Studio
“PHOSPHèNES”

Strange visual universes emerge in kaleidoscopic explosions, mixtures of straight lines and curves on impossible scales. To borrow one of Lovecraft's favorite tropes, these lucid reveries evoke portals to otherworlds governed by an alien physics, elusive amalgams of silhouettes and light.

D’étranges univers visuels naissent dans des explosions kaléidoscopiques, mélanges de droites et de courbes aux échelles impossibles. Ces rêveries lucides évoquent, pour reprendre l’un des tropes favoris de Lovecraft, des portails vers des ailleurs régis par une physique étrangère, amalgames insaisissables de silhouettes et de lumière.

Dorian Renard, an artist-designer with a degree from Eindhoven, produces illusionist works. Resembling glass sculptures, they are actually made of acrylic, which he blows and twists, creating ethereal, ethereal works. These objects may seem out of humanity, like frozen waves or immobilized jellyfish or amoeba, but they are also part of the long history of art, and are the sum total of references, both conscious and unconscious, ranging from the auricular style to the glass productions of Max Ingrand. For the exhibition, in collaboration with Southway Studio, he has designed the “Phosphènes” series of wall lights, which enclose small immortalized storms in a rigorously rectangular gangue, each different from one work to the next.

Dorian Renard, artiste designer diplômé de Eindhoven, produit des oeuvres illusionnistes. Semblables à des sculptures de verre, elles sont en réalité en acrylique, qu’il souffle et tord, créant des oeuvres aériennes et éthérées. Ces objets, s’ils semblent hors humanité, semblables à des vagues figées ou à des méduses ou amibes immobilisés, s’inscrivent aussi dans le temps long de l’histoire de l’art et sont la somme de références, conscientes ou non, qui vont du style auriculaire aux productions verrières de Max Ingrand. Pour l’exposition, il a conçu en collaboration avec Southway Studio la série d’appliques mu- rales « Phosphènes », qui renferment dans une gangue rigoureusement rectangulaire de petites tempêtes immortalisées, toutes différentes d’oeuvre en oeuvre.